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Bonjourouvert ce week-end une bouteille du Domaine Ermitage du Pic Saint Loup - Tour de Pierre 2019 Oeil: sombre avec des reflets violines sur le bord de verre Nez: WoW!VolatilitĂ© haute! Mais sur des notes de fruits rouges relevĂ© d’une pointe de garrigue Bouche: ouf!Le vin est comme un funambule sur son fil avec cette volatile! Appellationd'origine Pic Saint-Loup. DĂ©signation rĂ©glementĂ©e (AOC/AOP) Appellation origine controlĂ©e/protĂ©gĂ©e. CĂ©pages Syrah 70 %, Grenache 30 %. DegrĂ© d'alcool 13,5 %. Taux de GRÂź de Pays Grand Pic Saint-Loup. HÉRAULT. SituĂ© Ă  15 kilomĂštres au nord de Montpellier, dans l'HĂ©rault, le territoire du Grand Pic Saint-Loup offre une mosaĂŻque de milieux d'une grande richesse biologique et des paysages exceptionnels : les gorges encaissĂ©es du ravin des Arcs, le face Ă  face extraordinaire entre le Pic Saint-Loup et les falaises de l'Hortus ou encore les Tintinet les Picaros est le vingt-troisiĂšme et dernier album achevĂ© de la sĂ©rie de bande dessinĂ©e Les Aventures de Tintin, créée par le dessinateur belge HergĂ©.L'histoire est d'abord prĂ©-publiĂ©e du 16 septembre 1975 au 13 avril 1976 dans les pages du journal Tintin, avant d'ĂȘtre Ă©ditĂ©e en album aux Ă©ditions Casterman en 1976.. Cette aventure marque le retour de Tintin PicSaint-Loup. L'appellation Pic Saint-Loup fait partie de la rĂ©gion de Languedoc-Roussillon en France dont est issu Domaine le Chemin des RĂȘves avec ses 0 cuvĂ©es. RĂ©partie sur 63 400 ha, cette rĂ©gion produit 2,4 millions d’hectolitres/an. Voir la page appellation. Pic Saint-Loup : les plus populaires. Languedoc-Roussillon Domaine de l'Hortus Grande CuvĂ©e 2019 . 26,00 € Sites De Rencontre Suisse Romande Gratuit. PrĂ©face de Jean Guilaine, Photographies d’Alain Aigoin, Archives d’écologie prĂ©historique, Toulouse, 2011, 178 p., 20 € — 9782358420068 Les premiĂšres pages fixent le propos de l’ouvrage, il s’adresse Ă  un lectorat large ; son format modeste en fait un ouvrage pratique pouvant accompagner le lecteur Ă  la dĂ©couverte des tĂ©moins de la fin du NĂ©olithique autour du Pic Saint Loup. Le texte est accompagnĂ© d’une sĂ©lection d’illustrations au trait et de clichĂ©s photographiques de qualitĂ©. Il concerne un cadre chronologique et un espace gĂ©ographique larges, la fin du NĂ©olithique dans les garrigues languedociennes, avec pour point central de l’exposĂ© un Ă©pisode de l’Histoire mĂ©diterranĂ©enne le Fontbouisse. L’évocation du parcours des quatre auteurs annonce la consistance du contenu et la prĂ©face de Jean Guilaine rĂ©sume sa trame Ă  la fin du NĂ©olithique, le Fontbouisse est une entitĂ© originale du Midi mĂ©diterranĂ©en. Le plan dĂ©taillĂ© et prĂ©cis amĂšne progressivement le lecteur des cadres gĂ©nĂ©raux aux exemples particuliers avant de lui laisser le loisir d’approfondir ses connaissances par la lecture des notices et des rĂ©fĂ©rences bibliographiques qui viennent clore l’ouvrage. DĂšs l’introduction, par un historique des recherches et la mention des sites accessibles, l’ouvrage ouvre l’érudition Ă  un lectorat Ă©tendu. La premiĂšre partie concerne le contexte gĂ©nĂ©ral. L’évocation du cadre historique permet aux auteurs de rappeler que le Fontbouisse existe en premier lieu en tant que terminologie de la recherche. Aujourd’hui, le Fontbouisse est souvent illustrĂ© par une mosaĂŻque de styles cĂ©ramiques dont la perception inconsciente est celle des premiers chercheurs les tribus » sont devenues des faciĂšs » mais le fond conceptuel est le mĂȘme, seule la terminologie a changĂ©. Les auteurs rappellent avec justesse qu’il y a confusion, trop rĂ©pandue hĂ©las, entre peuple et culture matĂ©rielle. Le Fontbouisse n’est pas qu’un type cĂ©ramique. La spĂ©cificitĂ© de cette entitĂ© concerne plusieurs autres domaines. Un contexte naturel, l’espace de prĂ©dilection est centrĂ© sur les petits plateaux calcaires de l’arriĂšre-pays montpelliĂ©rain. Une identitĂ© architecturale Ă  caractĂšre monumental, les constructions domestiques obĂ©issent Ă  des standards bĂątiments Ă  absides, structures rondes et l’organisation de l’habitat suggĂšre la rĂ©fĂ©rence Ă  un modĂšle de structuration spatiale. Une exploitation aboutie des ressources naturelles vivriĂšres, matiĂšres premiĂšres, cavitĂ©s, ce rapport au contexte tĂ©moigne de l’insertion dans ce paysage si particulier. À la fin du NĂ©olithique, le Fontbouisse est l’osmose d’un substrat naturel et d’un groupe humain, c’est le cƓur de cet ouvrage. Pour les auteurs, du calcaire des garrigues Ă  celui des causses, le Fontbouisse est l’assemblage d’entitĂ©s sociales inĂ©gales, diversifiĂ©es et hĂ©tĂ©rogĂšnes en interaction avec les groupes contemporains dont il se singularise notamment par un style cĂ©ramique normalisĂ© et une architecture de pierre sĂšche. Cette dynamique est probablement comparable Ă  celle des peuples contemporains du pourtour mĂ©diterranĂ©en. À partir de la deuxiĂšme partie, les auteurs exposent les paramĂštres qui donnent corps Ă  la Culture de Fontbouisse. Bien que contemporain d’une phase chalcolithique, le rĂŽle du cuivre dans sa constitution et dans sa consolidation reste mal Ă©valuĂ©. Au regard du contexte historique, il est paradoxal de constater que les faciĂšs » cĂ©ramiques soient figĂ©s sur des espaces gĂ©ographiques sans renouvellements, ni innovations au cours du temps. Mais heureusement cet ouvrage donne un autre contenu que celui Ă©laborĂ© sur ces constats fragiles. Si le socle culturel est mal dĂ©terminĂ©, le substrat naturel est une des spĂ©cificitĂ©s du Fontbouisse. Le site de Boussargues permet de s’interroger quant Ă  l’existence de centres spĂ©cialisĂ©s, ici, dans la rĂ©colte et la transformation des produits de la chĂȘnaie glands principalement, arbouses. Les ressources naturelles font l’objet d’une exploitation raisonnĂ©e, est-ce pour pallier les difficultĂ©s d’une agriculture sur les sols lĂ©gers et peu Ă©tendus des garrigues ? La prĂ©sence de coquillages marins illustre la variĂ©tĂ© des approvisionnements ainsi que les liens qui unissent le littoral Ă  l’arriĂšre-pays des terres calcaires. À cette Ă©conomie de surface, les groupes du NĂ©olithique final ont innovĂ© par l’utilisation des cavitĂ©s souterraines comme citernes. Les auteurs offrent un autre exemple de la pratique de l’environnement calcaire. Les fontbuxiens exploitent le calcaire dans tous ses Ă©tats. Les unitĂ©s domestiques du Fontbouisse sont les premiĂšres maisons relativement bien connues du NĂ©olithique du Midi de la France. Dans leurs contextes naturel et historique, elles tĂ©moignent d’une organisation trĂšs aboutie de l’espace naturel. Pour les auteurs, les habitats ceinturĂ©s flanquĂ©s de structures rondes obĂ©issent Ă  un modĂšle architectural suggĂ©rant la cohĂ©sion du groupe et la solide ossature de la culture de Fontbouisse. Cette sociĂ©tĂ© maĂźtrise un territoire et ses potentiels. Cette unitĂ© est d’autant plus notable que le modĂšle de l’espace habitĂ© est transposĂ© en plaine oĂč, si le calcaire est absent, il sera transportĂ© pour rĂ©aliser certaines constructions. La rĂ©gion fontbuxienne est organisĂ©e par un rĂ©seau de sites ouverts et fermĂ©s, parfois perchĂ©s. La riche gamme formelle de la poterie et son ornementation complexe sont un des fondamentaux de cette culture. Dans le domaine lithique, l’originalitĂ© fontbuxienne s’exprime par la fabrication de lames et la spĂ©cialisation de certains sites dans la conception de type d’outils particuliers. Pour la fabrication des lames ouvragĂ©es, les mines et ateliers de silex en plaquette fournissent un matĂ©riau de choix, objet d’une forte prĂ©dilection. De la surface aux grottes-citernes, le creusement et l’extraction constituent une nouvelle Ă©vidence de la maĂźtrise fontbuxienne du contexte calcaire. À partir du contexte culturel puis naturel, du potentiel de l’environnement puis de l’implication humaine dans le territoire les auteurs nous amĂšnent progressivement dans l’espace de l’habitat. Les fontbuxiens sont des constructeurs, les premiers Ă  mettre en Ɠuvre avec rĂ©currence des techniques, acquises et maĂźtrisĂ©es en contexte funĂ©raire antĂ©rieurement pour structurer leur espace de vie. Rectangle allongĂ© aux extrĂ©mitĂ©s en absides de surface variable, pour les auteurs, le modĂšle du bĂątiment fontbuxien est une nouvelle illustration de la cohĂ©sion de cette culture. Les toits Ă  double pente Ă  couverture vĂ©gĂ©tale peuvent ponctuellement recevoir un Ă©pandage de terre argileuse ou l’adjonction de plaquettes calcaire. Ces pierres lĂ©gĂšres ne sont jamais issues du site de construction, elles font l’objet d’un prĂ©lĂšvement et d’un transport Ă  partir d’un gĂźte distant des habitats. Argiles et plaquettes tĂ©moignent une fois de plus d’une mise Ă  profit des ressources de l’environnement calcaire. L’espace domestique fontbuxien est organisĂ© en unitĂ©s complĂ©mentaires associant lieux de vie et zones de stockage et de traitement. La derniĂšre partie de l’ouvrage expose la variabilitĂ© funĂ©raire au cours du NĂ©olithique final. C’est une nouvelle fois le calcaire qui conditionne pour partie l’architecture funĂ©raire en cavitĂ© naturelle, construite ou creusĂ©e. Une partie des chambres funĂ©raires construites dolmens de l’Hortus donnent consistance Ă  l’image de groupes humains puissants. Certains dĂ©funts portent des parures dont la matiĂšre premiĂšre est variĂ©e et parfois rare indice d’une diffĂ©renciation du statut social pour les auteurs. Dans ce chapitre, on regrettera l’absence d’une caractĂ©risation des pratiques funĂ©raires du Fontbouisse. C’est une recherche qui reste Ă  mener pour complĂ©ter la perception et prĂ©ciser la dĂ©finition de cette culture. Cet ouvrage fait Ă©tat des connaissances assimilĂ©es durant plus d’un demi-siĂšcle. Il fait un point sur l’avancement actuel des acquis. Cette synthĂšse destinĂ©e Ă  un large public atteint son objectif. Elle a Ă©galement un autre grand mĂ©rite, elle rĂ©unit l’ensemble des Ă©lĂ©ments qui permet de donner corps non plus Ă  un concept mais Ă  une culture, vĂ©ritable Âge du calcaire en Languedoc oriental. Le Fontbouisse a une place majeure dans l’histoire du NĂ©olithique, cette contribution collective permet, pour la premiĂšre fois, d’en prendre la rĂ©elle mesure. FrĂ©dĂ©ric Jallet – e-mail Parmi les endroits les plus frĂ©quentĂ©s de l’arriĂšre pays de Montpellier, celui du Pic St Loup est trĂšs apprĂ©ciĂ©. Cette petite montagne Ă  la silhouette si particuliĂšre est un vĂ©ritable repĂšre dans la garrigue Ă  des km Ă  la ascension » le terme n’est pas exagĂ©rĂ© si elle est rĂ©alisĂ©e sous la canicule 😉 se fait par la face sud, cĂŽtĂ© Cazevieille, sur un sentier bien rocailleux. Un itinĂ©raire largement frĂ©quentĂ© par un public varié  Il s’agit presque d’un pĂšlerinage pour les montpelliĂ©rains !Au dĂ©marrage du sentier, le randonneur fraichement sorti de sa voiture pourra admirer un vieux chĂȘne vert. Il a rĂ©ussi Ă  faire sa place dans une garrigue basse et le vĂ©nĂ©rable chĂȘne vert se remet mal de l’amputation de l’une de ses charpentiĂšres
 Je n’étais pas passĂ© au pied du Pic St Loup depuis 6 ou 7 ans
 J’avais en mĂ©moire un majestueux chĂȘne vert. Ce n’était peut-ĂȘtre pas l’un des plus beaux, mais assurĂ©ment l’un de mes prĂ©fĂ©rĂ©s. La vue de son Ă©tat par cette journĂ©e pluvieuse de novembre m’a fait l’effet d’un coup de poignard. 🙁 Le voici durant ses heures de gloire en janvier 2000 l’une de mes toutes premiĂšres photos avec un appareil numĂ©rique 😉 et en comparaison, sa silhouette dĂ©pouillĂ©e 15 ans plus tard. De toute Ă©vidence, la chute de cette grosse charpentiĂšre l’aura particuliĂšrement distingue une profonde fissure le long de son tronc. Et l’apparition de champignons lignivores n’est pas de bon augure. Son houppier trĂšs Ă©clairci, est le signe de sa difficultĂ© Ă  s’ blessure a eu de graves consĂ©quences sur l’état de santĂ© du vieux chĂȘne. Son dĂ©pĂ©rissement est bien avancĂ© et va s’accĂ©lĂ©rer dans les prochaines la table de pique-nique, qui Ă©tait judicieusement placĂ©e pour profiter de l’ombre du gros chĂȘne, a Ă©tĂ© dĂ©placĂ©e pour des raisons Ă©videntes de sĂ©curité  MĂȘme si ses dimensions ne sont pas exceptionnelles, le gros chĂȘne vert du Pic St Loup a toute sa place dans la catĂ©gorie des arbres remarquables ». Son Ăąge peut ĂȘtre estimĂ© entre 150 et 200 circonfĂ©rence Ă  1,3m en novembre 2014 est de 3,24m. Sa hauteur a Ă©tĂ© mesurĂ©e au dendromĂštre Ă©lectronique vertex Ă  11, gĂ©ographiques N43,77067° E003,79163° – Altitude 300m Avant de le quitter, je tourne plusieurs fois autour de mon beau chĂȘne dans l’espoir de l’immortaliser sous un autre angle de vue
 Je voudrais tellement le garder en mĂ©moire comme je l’ai toujours connu. Mise Ă  jour Janvier 2021 Quelques nouvelles du chĂȘne vert du Pic St Loup, 6 ans aprĂšs mon dernier passage. Je craignais de le retrouver effondrer au sol, alors quel soulagement de le revoir dans une silhouette Ă  peu prĂšs identique. Il ne va pas mieux qu’avant, la pourriture continue Ă  ronger l’intĂ©rieur du tronc et des branches, mais pour le moment il n’a pas connu de nouvelles grosses casses qui auraient pu l’ profitons encore de sa belle et majestueuse prĂ©sence pour nous donner l’énergie nĂ©cessaire Ă  l’ascencion du Pic St Loup 🙂 🙂 🙂 GR de Pays Tour des Baronnies provençales DRÔME Avec son massif de moyenne montagne, son climat mĂ©diterranĂ©en et la richesse de ses patrimoines naturels et culturels, les Baronnies provençales sont un terrain de jeu idĂ©al pour la pratique d'activitĂ©s de pleine nature. Tout au long de son itinĂ©rance sur le GR de Pays Tour des Baronnies provençales, les plantes Ă  parfum, aromatiques et mĂ©dicinales telles que thym sauvage, romarin, sauge ou encore ses innombrables champs de lavande accompagnent Ă  merveille ce milieu gĂ©ologique exceptionnel et apportent pour notre plus grand plaisir de multiples odeurs enivrantes. Voter pour le GR de Pays Tour des Baronnies provençales GR 58 - Tour du Queyras HAUTES-ALPES NichĂ© au cƓur des Hautes-Alpes, le massif du Queyras est un vĂ©ritable conservatoire naturel Ă  ciel ouvert de la faune et de la flore des Alpes mĂ©diterranĂ©ennes aigles royaux, tĂ©tras lyres, chamois, bouquetins et salamandres de Lanza peuplent en effet fiĂšrement ce territoire qui concentre Ă©galement le plus haut village d'Europe, Saint-VĂ©ran. Randonner sur le GR 58 - Tour du Queyras, c'est aussi profiter de quelques beaux 3000 » et mĂȘme gravir quelques un d'entre eux pour admirer le gĂ©ant local, le Mont Viso ! Voter pour le GR 58 - Tour du Queyras GR de Pays Grand Pic Saint-Loup HÉRAULT SituĂ© Ă  15 kilomĂštres au nord de Montpellier, dans l'HĂ©rault, le territoire du Grand Pic Saint-Loup offre une mosaĂŻque de milieux d'une grande richesse biologique et des paysages exceptionnels les gorges encaissĂ©es du ravin des Arcs, le face Ă  face extraordinaire entre le Pic Saint-Loup et les falaises de l'Hortus ou encore les vastes horizons de la SĂ©ranne qui marque la fin des Grands Causses, 
 Un patrimoine prĂ©historique et historique, forgĂ© par des siĂšcles de pastoralisme, dont on capte toute l'essence sans en laisser la moindre goutte Ă  travers une itinĂ©rance sur le GR de Pays Grand Pic Saint-Loup. Voter pour le GR de Pays Grand Pic Saint-Loup GR 30 - Tour des lacs d'Auvergne PUY-DE-DÔME Pour bon nombre d'amoureux de randonnĂ©e, l'Auvergne et son cĂ©lĂšbre GR 30 sonnent comme une Ă©vidence pour partir dans une aventure Ă  la quĂȘte de souvenirs impĂ©rissables. RĂ©alisant un tour de la rĂ©gion en passant par ses innombrables lacs, qu'ils portent des origines glaciaires comme celui de GuĂ©ry, volcaniques comme le Pavin ou de retenue comme celui d'Aydat, ce sentier n'oublie pas non plus de partir Ă  la dĂ©couverte des sommets les plus prestigieux du Puy-de-DĂŽme comme le Puy de Sancy qui, du haut de ses 1 885 mĂštres d'altitude, permet l'observation des crĂȘtes du Sancy comme La Bourboule, le Mont Dore, la banne d'Ordanche ou encore la vallĂ©e de la Dordogne. Voter pour le GR 30 - Tour des lacs d'Auvergne GR 509 - Grande TraversĂ©e du Jura JURA Les montagnes du Jura sont un trĂ©sor de diversitĂ©. Durant son voyage le long du GR 509 - Grande TraversĂ©e du Jura, le randonneur ne manquera pas d'apprĂ©cier les paysages hauts en couleur, dans des territoires fiers de leurs traditions et de leurs patrimoines. On pense notamment au fort des Rousses qui a quittĂ© sa vocation militaire pour se mettre au service du goĂ»t et du trĂ©sor local, le ComtĂ©. Plus largement, l'environnement jurassien saura toucher le curieux lacs, sources, alpages, massifs forestiers, 
 Ces grands espaces offrent une nouvelle dĂ©finition au mot bucolique ». Voter pour le GR 509 - Grande TraversĂ©e du Jura GR 145 - Via Francigena AISNE Ancestral chemin de pĂšlerinage et voie commerciale, le GR 145 - Via Francigena invite le randonneur Ă  se plonger dans les pas de l'archevĂȘque SigĂ©ric de CantorbĂ©ry qui relia en 990 le sud-est de l'Angleterre Ă  Rome, pour y recevoir le pallium des mains du Pape Jean XV. Dans l'Aisne, cet itinĂ©raire nous offre un aperçu verdoyant d'une campagne encore marquĂ©s par le passage de la Seconde Guerre Mondiale, ainsi que la dĂ©couverte de nombreux monuments historiques tels que la cathĂ©drale Notre-Dame-de-Laon, cĂ©lĂšbre pour ĂȘtre l'un des premiers Ă©difices majeurs de style gothique en France. Voter pour le GR 145 - Via Francigena GR 75 - Le tour de Paris Ă  pied PARIS Si le GR 75 rĂ©alisant le tour de Paris Ă  pied est un itinĂ©raire rĂ©solument olympique dans son identitĂ©, cheminant entre les anciens espaces sportifs des Jeux de 1900 et 1924 et certains complexes qui serviront aux Jeux Olympiques de Paris 2024, il ne l'empĂȘche pas non plus d'ĂȘtre empreint de la vie parisienne ». Traversant 9 arrondissements et prĂšs de 75 espaces verts, ce sentier offre une dĂ©couverte unique de la capitale parisienne en apportant une vision historique, culturelle et parfois mĂȘme champĂȘtre, le tout en Ă©tant Ă  moins de cinq kilomĂštres de la Tour Eiffel ! Voter pour le GR 75 - Le tour de Paris Ă  pied GR 3 - La Loire sauvage Ă  pied LOIRE-ATLANTIQUE AprĂšs plus de 1 000 kilomĂštres de chevauchĂ©e Ă  travers le territoire français, la Loire finit par rĂ©pandre ses eaux dans l'Atlantique. C'est jusqu'Ă  ce dernier chapitre, en Loire-Atlantique, que vous conduit le GR 3 aprĂšs avoir suivi de bout en bout les mĂ©andres de ce fleuve majestueux. Sur ce vaste territoire, ce sentier de Grande RandonnĂ©e nous transporte Ă  la rencontre de paysages forts et authentiques, au cƓur des marais tourbeux et salants. Voter pour le GR 3 - La Loire sauvage Ă  pied DĂ©couvrir le GR 21 - Littoral de la Normandie, Ă©lu GR prĂ©fĂ©rĂ© des Français 2020 >> Voir ou revoir les Ă©pisodes des saisons prĂ©cĂ©dentes Ce sujet vous a plu ? Suivez nos actualitĂ©s sur facebook 👍 RĂ©daction MonGR Jusqu’au 15 novembre, 3719 magnums du domaine de la Poulette sont mis aux enchĂšres, en ligne, par la maison Ader Entreprises et Patrimoine. Parmi ces flacons, une majoritĂ© de nuits-saint-georges et de vosne-romanĂ©e, les millĂ©simes allant de 1993 Ă  2017. Les vignerons bourguignons stockent de moins et les vieux bourgognes se font rares, en particulier dans les caves de la trĂšs prisĂ©e CĂŽte de Nuits. La mise en vente de 3719 magnums du domaine de la Poulette, situĂ© Ă  Nuits Saint-Georges, rĂ©sonne ainsi comme un petit Ă©vĂ©nement au royaume du pinot noir. Nous avons dĂ©cidĂ© de garder quelques bouteilles pour notre consommation personnelle et de vendre le reste », confie HĂ©lĂšne Michaut, qui reprend les rĂȘnes du domaine Ă  la suite de ses parents, Françoise et François Michaut. Cette vente se dĂ©roule dans le cadre de la transmission de l’exploitation. C’était le bon moment. » Des lots de 1 Ă  3 magnums Pour la famille vigneronne, le choix des enchĂšres est vite apparu comme une Ă©vidence. Nous proposons cinq cuvĂ©es diffĂ©rentes, sur une vingtaine de millĂ©simes. Cela fait prĂšs de 100 rĂ©fĂ©rences. Il Ă©tait trop compliquĂ© de les marketer une Ă  une. » Au marteau la maison Ader Entreprises et Patrimoine, qui a mis en place ces enchĂšres en ligne sur la plateforme Drouot Online. La vente a dĂ©butĂ© le 8 octobre et prendra fin le 15 novembre. Seules des cuvĂ©es rouges sont disponibles, rĂ©parties en lots de 1 Ă  3 magnums. Dans le dĂ©tail 856 Magnums de CĂŽte-de-Nuits-Villages Vierville» de 1997 Ă  2017 717 Magnums de Nuits-Saint-Georges 1er Cru Clos des Poulettes» de 1995 Ă  2013 658 Magnums de Nuits-Saint-Georges Les Vallerots» de 2003 Ă  2017 866 Magnums de Nuits-Saint-Georges 1er Cru Les Vaucrains» de 1993 Ă  2017 622 Magnums de Vosne-RomanĂ©e 1er Cru Les Suchots» de 2000 Ă  2017 Photo Domaine de la Poulette De mĂšre en fille depuis six gĂ©nĂ©rations Directement en provenance du domaine, ces cuvĂ©es sont dans un Ă©tat de conservation idĂ©al », d’aprĂšs la maison d’enchĂšres. Et taillĂ©es pour la garde », assure HĂ©lĂšne Michaut. Tous les magnums datent de la pĂ©riode oĂč mon pĂšre vinifiait. Il privilĂ©giait un style assez tannique, propice Ă  la bonne Ă©volution. » Depuis plus de six gĂ©nĂ©rations, le Domaine de la Poulette s’est transmis par les femmes. La famille est propriĂ©taire d’environ 16 hectares, de Nuits-Saint-Georges Ă  Vosne-RomanĂ©e. Vente Ă  retrouver sur le site Image tirĂ©e du Facebook du Collectif OxygĂšne, prise Ă  l'occasion de la journĂ©e de mobilisation virtuelle du 17 novembre contre la rĂ©-intoxication du monde. Le projet Oxylane est archi indĂ©fendable. C’est l’évidence. Mais rien ne colle avec le rĂ©el, dans les dĂ©cisions de justice et les atermoiements des autoritĂ©s. C’est massif. C’est carrĂ©. C’est dĂ©finitif. La crĂ©ation d’une nouvelle zone commerciale, en prolongement du monstrueux capharnaĂŒm urbain d’EuromĂ©decine, du rond-point de la Lyre et du Carrefour de Saint-ClĂ©ment, constituerait une nĂ©gation violente de tout ce qu’on croit comprendre de l’urgence climatique. Il n’est qu’à s’en tenir Ă  l’objectif de stopper l’artificialisation des sols, et donc les zones d’activitĂ©s commerciales, qui figure parmi les prioritĂ©s issues de la fameuse Convention citoyenne sur le climat. Rappelons que sur vingt-quatre hectares de bois et zones agricoles miraculeusement prĂ©servĂ©s au ras de la route de Ganges Ă  la sortie de Montpellier, le groupe Decathlon porte le projet Oxylane. Outre sa propre enseigne, s’y rajouteraient des magasins aux marques Truffaut, O’Terra, une salle de sports, des bĂątiments de bureau. Dans une agglomĂ©ration dĂ©jĂ  saturĂ©e Ă  cet Ă©gard, c’est l’exemple mĂȘme d’un projet qui tue le foncier agricole, noie la terre sous l’asphalte des parkings, accentue les dĂ©placements automobiles, saccage les paysages, asservit l’urbain et modĂ©lise une conception aliĂ©nante des usages sociaux et des loisirs dans l’optique de la surconsommation. C’est massif. C’est carrĂ©. C’est dĂ©finitif. C’est l’urgence Ă©cologique. Certaines se plairont Ă  Ă©voquer quelque monde d’aprĂšs ». Mais bon. Il y a surtout la permanence du monde du profit, de l’écrasement de nos vies et de la destruction du vivant. Avant, aprĂšs, et en tout cas toujours maintenant. C’est un monde qui a pour lui la loi, les reprĂ©sentations, les rouages institutionnels tout ce qui fait un État de droit, trĂšs rarement synonyme d’un Ă©tat de reconnaissance des droits. Ainsi la derniĂšre audience survenue devant le Conseil d’État, le 23 novembre dernier. L’attaque y est portĂ©e par Non au bĂ©ton, active depuis 2015 sur le dossier. Deux questions sont donc parvenues au sommet de la pyramide judiciaire administrative. La contestation porte sur une possible illĂ©galitĂ© de la commercialisation des lots alors que les travaux d’équipements ne sont pas terminĂ©s. Et par ailleurs sur l’insuffisance du nombre d’emplacements de stationnement prĂ©vu. À vrai dire, sur le fond, moins les parkings s’étendent, plus on se rĂ©jouit. Mais bon, Ă  moins d’ĂȘtre un naĂŻf fanatique de l’État de droit, on mise sur de tels recours dans l’espoir d’empĂȘcher la rĂ©alisation d’un projet, sinon en ralentir l’avancĂ©e, comme autant de gagnĂ© pour la lutte de terrain. C’est de bonne guerre. Sans se passionner sur les questions pointĂ©es, relevons vite que le rapporteur sur ce dossier – dont l’avis est gĂ©nĂ©ralement suivi au moment du dĂ©libĂ©rĂ© – a conclu en la dĂ©faveur des anti-Oxylane. Il y aurait assez de parkings. Et la commercialisation sans les Ă©quipements nĂ©cessaires ne serait que souplesse qui permet d’anticiper les travaux sans purger les dĂ©lais d’instruction ». C’est dire la valeur que la Justice elle-mĂȘme accorde, par a priori, aux recours intentĂ©s contre un projet. VoilĂ  donc une bataille de perdue trĂšs probablement. Non au bĂ©ton se bat encore sur le permis d’amĂ©nager modificatif. Un autre groupe d’opposants, le collectif OxygĂšne, avec son noyau constituĂ© d’habitants du secteur, agit par ailleurs au Tribunal administratif avec une demande d’annulation partielle du SchĂ©ma de cohĂ©rence territoriale Scot du Grand Pic Saint-Loup, et en appel administratif Ă  propos de la loi sur l’eau. Mais comment dire ? Quel sentiment inspire l’examen des arguties juridiques, la mesure du fossĂ© entre les dispositions de l’État de droit, et l’aveuglante inadĂ©quation de la vision du monde qu’elles prĂ©tendent encadrer, quand tout rend Ă©vident que le projet Oxylane est mort, nul, aberrant et enterrĂ©, au regard de l’urgence climatique ? Faut-il alors se fier Ă  la clairvoyance des autoritĂ©s ? La CommunautĂ© de communes du Grand Pic Saint-Loup, avec son prĂ©sident Alain Barbe, maire des Matelles, continue de dĂ©fendre ce projet, essentiellement au nom de l’emploi, quand il faudrait rĂ©flĂ©chir en projet de monde, de sociĂ©tĂ© et de vie, contre un autre projet de monde, de sociĂ©tĂ© et de vie. Le confinement n’a pas permis d’y voir encore trĂšs clair sur une Ă©volution de la tendance parmi les Ă©lus de toutes ces communes, avec le renouvellement des Ă©quipes municipales lors du scrutin dernier. Le collectif OxygĂšne entend multiplier les contacts de ce cĂŽtĂ©-lĂ . Pour l’instant, on retient la schizophrĂ©nie d’une CommunautĂ© de communes qui vient par ailleurs de noircir les pages du quotidien rĂ©gional avec la dĂ©signation de son dispositif de sentiers de grande randonnĂ©e comme Ă©tant soit-disant le prĂ©fĂ©rĂ© des Français. Le Pic Saint-Loup, ce miracle de la nature, cernĂ© de voies rapides, de lotissements et centres commerciaux
 Il y a bien le dĂ©licieux MichaĂ«l Delafosse, farouche opposant Ă  Oxylane, mais bien heureusement situĂ© sur un territoire communal qui ne le concerne pas, ce qui lui laisse le loisir de bĂ©tonner Ă  tout va de l’autre cĂŽtĂ© de l’agglomĂ©ration. Reste le PrĂ©fet de l’HĂ©rault, dont les anti-Decathlon aimeraient parvenir Ă  sonder les intentions. DĂ©jĂ  en septembre 1998, son prĂ©dĂ©cesseur avait demandĂ© aux communes le retrait du projet Oxylane du Scot du Pic Saint-Loup, au nom du pĂ©ril de rĂ©duction des terres agricoles et des espaces biologiques. On pensait qu’un cran supplĂ©mentaire avait Ă©tĂ© franchi, dans le cadre de la Convention citoyenne sur le climat. Le chef de gouvernement a trĂšs clairement donnĂ© aux prĂ©fets l’instruction d’ utiliser toutes les possibilitĂ©s de recours visant Ă  empĂȘcher les projets de centres commerciaux qui accentuent l’artificialisation des sols ». Cela en vue d’un moratoire gĂ©nĂ©ral qui serait officialisĂ© en dĂ©but d’annĂ©e prochaine, dans la perspective de la loi climat Ă  discuter au printemps, pour une entrĂ©e en vigueur possible en fin d’annĂ©e 2021. Les anti-Oxylane sortent de tout ce maquis en traduisant clairement il faut prononcer le gel immĂ©diat du projet.

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